On recommande aux futures mamans de manger du poisson deux fois par semaine.
Mais l'Afssa (agence française de sécurité sanitaire des aliments) conseille aux femmes enceintes de diversifier leur consommation afin de protéger leur bébé d'une exposition au mercure.
Le mercure est naturellement présent dans les sols, les lacs, les océans et les cours d'eau, mais l'industrie (combustion de déchets, exploitation minière, transformation des pâtes à papier) produit également du mercure qui le plus souvent est rejeté dans les rivières et la mer.
Les petits poissons qui mangent du plancton au mercure sont à leur tour dévorés par des plus gros poissons, qui accumulent ainsi des taux de mercure élevés.
Plus les poissons sont gros et vivent longtemps, plus ils emmagasinent dans leurs chairs ce métal toxique.
La daurade, l'espadon, le marlin, le requin et le thon figurent parmi les espèces présentant des niveaux élevés de mercure.
C'est pourquoi l'Afssa recommande aux femmes enceintes, à titre de protection, d'éviter d'en manger trop régulièrement et de diversifier au maximum les espèces de poissons qu'elles consomment.
Les poissons d'élevage comme le saumon sont protégés de cette exposition : d'une part leur vie est relativement courte et d'autre part les eaux dans lesquels ils grandissent sont régulièrement contrôlées.
Il faut savoir que le mercure sous sa forme méthylée (le methylmercure) n'affecte pas la mère mais présente un véritable danger pour le foetus.
C'est le cerveau qui est visé prioritairement : en effet le système nerveux central du foetus est particulièrement sensible à l'action toxique du methylmercure.
D'après l'ensemble des études cliniques, l'atteinte neurologique chez les enfants exposés pendant la grossesse au méthylmercure se traduit par une moindre performance dans les tests qui explorent le développement neuro-comportamental.
Pour parer à tout risque évitez les sushi, sashimi, tartares et autres ceviches (poissons crus marinés).
Les poissons crus, surtout quand ils ont été tardivement vidés, peuvent abriter un parasite alimentaire, l'anisakiase, responsable de l'anisakidose, la maladie du ver de hareng.
Mais l'Afssa (agence française de sécurité sanitaire des aliments) conseille aux femmes enceintes de diversifier leur consommation afin de protéger leur bébé d'une exposition au mercure.
Le mercure est naturellement présent dans les sols, les lacs, les océans et les cours d'eau, mais l'industrie (combustion de déchets, exploitation minière, transformation des pâtes à papier) produit également du mercure qui le plus souvent est rejeté dans les rivières et la mer.
Les petits poissons qui mangent du plancton au mercure sont à leur tour dévorés par des plus gros poissons, qui accumulent ainsi des taux de mercure élevés.
Plus les poissons sont gros et vivent longtemps, plus ils emmagasinent dans leurs chairs ce métal toxique.
La daurade, l'espadon, le marlin, le requin et le thon figurent parmi les espèces présentant des niveaux élevés de mercure.
C'est pourquoi l'Afssa recommande aux femmes enceintes, à titre de protection, d'éviter d'en manger trop régulièrement et de diversifier au maximum les espèces de poissons qu'elles consomment.
Les poissons d'élevage comme le saumon sont protégés de cette exposition : d'une part leur vie est relativement courte et d'autre part les eaux dans lesquels ils grandissent sont régulièrement contrôlées.
Il faut savoir que le mercure sous sa forme méthylée (le methylmercure) n'affecte pas la mère mais présente un véritable danger pour le foetus.
C'est le cerveau qui est visé prioritairement : en effet le système nerveux central du foetus est particulièrement sensible à l'action toxique du methylmercure.
D'après l'ensemble des études cliniques, l'atteinte neurologique chez les enfants exposés pendant la grossesse au méthylmercure se traduit par une moindre performance dans les tests qui explorent le développement neuro-comportamental.
Pour parer à tout risque évitez les sushi, sashimi, tartares et autres ceviches (poissons crus marinés).
Les poissons crus, surtout quand ils ont été tardivement vidés, peuvent abriter un parasite alimentaire, l'anisakiase, responsable de l'anisakidose, la maladie du ver de hareng.
Source: doctisimo.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire